MenCare offre une première consultation gratuite sur les questions relatives aux hommes et aux pères. Nous écoutons, orientons et accompagnons la personne pour contribuer à faire un état des lieux de la situation. La première heure est gratuite. Si nécessaire, nous vous mettons ensuite en contact avec d’autres services de conseil spécialisés.
Cette offre est soutenue financièrement par l’Office fédéral des assurances sociales. La première consultation d’une heure est gratuite. Si vous souhaitez que votre conseiller vous accompagne plus loin après la première consultation, vous pouvez en parler à la fin de l’appel. Vous conviendrez des conditions avec votre conseiller. La responsabilité professionnelle incombe exclusivement au conseiller.
Conseil en matière de divorce et de garde des enfants
Voici un site qui répertorie les spécialistes en la matière
FAQ sur le divorce
Réponses aux questions les plus fréquentes sur la séparation et le divorce
Coach ZiS, formation en conseil sexuel (ZISS), théologien réf. MA. Depuis 1998, actif dans le conseil et la prévention pour hommes (www.timeout-statt-burnout.ch). Expérience personnelle de la séparation. Membre fondateur de männer.ch. Père de deux filles (*2014/*2016).
Premières consultations gratuites sur les questions relatives aux pères et aux hommes (DE). Je vous appelle à la date et à l’heure réservées au numéro indiqué.
Père d’une fille (*2019), vit séparé de sa mère. Connaissances en matière de séparation et de droit des pères (KESB, KJD, Jugendamt, Caritas, rapatriements internationaux). Coach et thérapeute en Gestaltthérapie. Mentor et coach en entreprise.
Premières consultations gratuites sur les questions relatives aux pères et aux hommes. Je vous appelle à la date et à l’heure réservées au numéro indiqué. (DE, EN, ES)
Cofondateur et aujourd’hui directeur général de männer.ch. Parcours professionnel : psychologue, consultant, développeur organisationnel. S’occupe personnellement et professionnellement de toutes sortes de questions relatives aux hommes et à la masculinité. Père d’une fille (*2013).
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Animateur de séminaires et de cours et coach parental. Thèmes abordés : Séparation et divorce, questions d’éducation et de famille, conciliation du travail familial et professionnel ; père de 2 enfants adultes.
Premières consultations gratuites sur les questions relatives aux pères et aux hommes. Je vous appelle à la date et à l’heure réservées au numéro indiqué.
Conseiller en organisation, coach et conseiller en paternité. Père de trois enfants (*2004, *2006 et *2009).
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Directeur de la communication de männer.ch. Père d’un fils (*2019). Partage le travail et la garde des enfants avec sa partenaire. Connaît la difficulté de satisfaire les exigences en tant que partenaire, professionnel et père.
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Vous trouverez ici des réponses professionnelles et concises.
Lors d’une séparation ou d’un divorce, deux personnes décident de ne plus vivre en tant que couple amoureux. Il s’agit généralement d’un processus douloureux. Mais tous les adultes sont libres de prendre cette décision, même si elle est prise unilatéralement.
En tant que couple parental, cette liberté est toutefois limitée : on reste parent même après une séparation ou un divorce ! En tant que famille avec enfants, il ne s’agit donc pas de « supprimer » l’ex-partenaire de sa vie. La question est plutôt : comment réussir à réorganiser la famille dans un contexte différent ? L’expérience montre qu’il est beaucoup plus facile de trouver des réponses à ces questions qui conviennent à toutes les personnes concernées lorsque les deux parents s’efforcent de coopérer et de désamorcer la situation à chaque étape. Une condition préalable est de savoir faire la différence entre ses propres besoins et ceux des enfants. Faire cette distinction et mettre ses propres besoins de côté fait partie de la responsabilité parentale.
Pas nécessairement. Vous pouvez vous séparer ou divorcer à l’amiable, c’est-à-dire avec l’accord des deux parties.
La séparation se fait par la signature d’un accord de séparation commun par les deux parties. Il n’y a pas besoin d’un tribunal pour cela.
En revanche, le divorce doit toujours être prononcé par un tribunal. Mais cela peut se faire sans avocat, sur demande commune. Il est également possible – et surtout recommandé en cas de situation familiale et patrimoniale compliquée – de se faire conseiller conjointement par un avocat.
Si les deux veulent divorcer, le divorce est possible à tout moment. C’est ce que l’on appelle dans le langage juridique le « divorce sur requête commune ».
Si l’une des parties s’y oppose, la voie du divorce passe par une action en justice. Et celle-ci ne peut être introduite qu’après deux ans de vie séparée. (Les deux ans doivent s’être écoulés avant que la demande de divorce ne soit déposée). Attention à ne pas se tromper : Dans la pratique, il n’est parfois pas si facile de définir le début de la séparation. L’accord de séparation ou le nouveau contrat de location après avoir quitté le logement commun peuvent par exemple servir de preuve. Il est particulièrement utile de définir clairement le début de la séparation lorsque le couple se sépare sans dissoudre le logement familial.
La troisième possibilité ne s’applique qu’en cas d’urgence : le « divorce pour motif déraisonnable ». Pour cela, il ne suffit pas que vous considériez vous-même la situation comme inacceptable. Elle doit être « objectivement » déraisonnable (par exemple parce qu’il existe un danger concret).
En termes simples, il y a trois façons de procéder :
L’intérêt supérieur de l’enfant est la priorité des autorités et des tribunaux. Si les parents parviennent eux aussi à placer le bien-être de l’enfant au centre de leurs préoccupations et à mettre leurs conflits personnels de côté, ils parviennent généralement à trouver des solutions à l’amiable de manière autonome. Il est clair que les enfants ont le droit de garder un contact quotidien avec leurs deux parents, même après une séparation ou un divorce. Les enfants ont également des droits pendant la procédure de séparation ou de divorce. Selon l’âge et le développement de l’enfant, ses souhaits sont entendus et – dans la mesure du possible – pris en compte.
En cas d’enfants communs, une pension alimentaire pour enfants est fixée. Depuis le 1er janvier 2017, la pension alimentaire pour enfants se compose de deux formes différentes : la « pension alimentaire en espèces » et la « pension alimentaire pour la prise en charge ». Le montant concret de la pension alimentaire est calculé par le tribunal, un service spécialisé (service social, centre de conseil familial ou autre) ou un spécialiste (médiateur(trice), avocat(e)).
Si les circonstances ont changé de manière significative et durable (par exemple, revenus, postes de dépenses plus élevés, situation du logement, situation familiale), une révision du jugement peut être demandée au tribunal compétent. Le tribunal compétent est en principe le tribunal de première instance du lieu de résidence de l’une des parties.
Nous vous recommandons le site https://amiable.ch pour plus d’informations.
Les conditions d’obtention du congé paternité sont les suivantes.Vous devez :
a) être le père légal du nouveau-né,
b) avoir cotisé à l’AVS pendant au moins neuf mois avant la naissance et
c) avoir travaillé pendant au moins cinq mois durant cette période (les jours de service étant pris en compte).
Vous devenez automatiquement père au sens juridique du terme si vous êtes marié avec la mère de l’enfant. Si vous n’êtes pas mariés, vous devez faire une reconnaissance en paterité de votre enfant auprès de l’état civil de votre commune.
En tant que couple parental, cette liberté est toutefois limitée : on reste parent même après une séparation ou un divorce ! En tant que famille avec enfants, il ne s’agit donc pas de « supprimer » l’ex-partenaire de sa vie. La question est plutôt : comment réussir à réorganiser la famille dans un contexte différent ? L’expérience montre qu’il est beaucoup plus facile de trouver des réponses à ces questions qui conviennent à toutes les personnes concernées lorsque les deux parents s’efforcent de coopérer et de désamorcer la situation à chaque étape. Une condition préalable est de savoir faire la différence entre ses propres besoins et ceux des enfants. Faire cette distinction et mettre ses propres besoins de côté fait partie de la responsabilité parentale.
En tant que couple parental, cette liberté est toutefois limitée : on reste parent même après une séparation ou un divorce ! En tant que famille avec enfants, il ne s’agit donc pas de « supprimer » l’ex-partenaire de sa vie. La question est plutôt : comment réussir à réorganiser la famille dans un contexte différent ? L’expérience montre qu’il est beaucoup plus facile de trouver des réponses à ces questions qui conviennent à toutes les personnes concernées lorsque les deux parents s’efforcent de coopérer et de désamorcer la situation à chaque étape. Une condition préalable est de savoir faire la différence entre ses propres besoins et ceux des enfants. Faire cette distinction et mettre ses propres besoins de côté fait partie de la responsabilité parentale.
Depuis 2021, tu as légalement droit à un congé paternité de deux semaines. Ton employeur doit te l’accorder, même s’il s’y oppose personnellement ou si cela le met en difficulté. Il est toutefois préférable de définir ensemble quand et comment tu prendras ce congé.
Le montant de la compensation financière est clairement défini par la loi : Vous avez droit à au moins 80% de votre salaire actuel, mais pas à plus de 196 francs par jour. C’est plutôt peu pour les personnes qui gagnent bien leur vie. Il peut donc tout de même être important d’économiser un peu d’argent pour compenser la perte éventuelle de revenu durant le congé paternité.
La prise du congé paternité est relativement flexible. Vous devez certes le prendre au cours des six premiers mois suivant la naissance. Mais vous êtes en principe libre de répartir les 10 jours comme vous le souhaitez. Il est recommandé de bien réfléchir à la manière dont vous pouvez utiliser au mieux ces 10 jours. Le mieux est d’en discuter avec votre partenaire et vos supérieurs. C’est scientifiquement prouvé : la période qui suit immédiatement la naissance est une phase sensible, au cours de laquelle la proximité avec l’enfant renforce énormément la construction de la relation. Il est donc judicieux de prendre le congé paternité – au moins en partie – immédiatement après la naissance.
Vous devez vous occuper vous-même de l’enregistrement de votre droit. Il est préférable de commencer par en parler à votre employeur. C’est devenu une procédure standard dans de nombreuses entreprises. Important : le congé paternité ne coûte rien à l’employeur (sauf s’il verse volontairement des prestations supérieures à votre droit légal). C’est la collectivité qui prend en charge les coûts du congé paternité. Les employeurs sont remboursés par la caisse de compensation. C’est pourquoi le congé paternité n’est pas un acte de générosité de la part de l’employer mais un droit que vous pouvez revendiquer en toute confiance.
Pas automatiquement ! Si, en tant que parents, vous êtes d’accord pour assumer ensemble la responsabilité de l’enfant commun, l’autorité parentale conjointe peut être déclarée à l’office d’état civil en même temps que la reconnaissance en paternité. Pour cela, vous devez vous rendre tous les deux sur place. Bien qu’il s’agisse de la règle légale et qu’elle doive être accordée à moins que des raisons vraiment graves ne s’y opposent, elle ne découle pas automatiquement de la reconnaissance de l’enfant pour les personnes non mariées. Si vous n’êtes pas mariés, la mère détient seule l’autorité parentale, à moins que vous ne fassiez une déclaration en ce sens (ou que l’APEA ou un tribunal ne décide d’attribuer l’autorité parentale alors que l’un des parents ne le souhaite pas). L’autorité parentale implique le droit et le devoir des parents de veiller au bien-être personnel de leur enfant, de le représenter légalement et d’administrer ses biens. Ce faisant, les parents veillent non seulement à l’entretien de l’enfant, mais aussi à son éducation et à son développement personnel.
En tant que père exerçant l’autorité parentale conjointe, vous avez le droit de participer aux décisions concernant les grandes questions de la vie de l’enfant (par exemple, le choix de l’école, les interventions médicales, l’appartenance religieuse, etc.) L’autorité est à distinguer de la garde des enfants qui elle détermine le lieu de résidence habituel de l’enfant, qui s’occupe de ses besoins quotidiens (par exemple, les repas) et qui assume la responsabilité des décisions quotidiennes et urgentes. L’autorité parentale conjointe n’est pas automatiquement liée au droit de garde (alternée).
La reconnaissance en paternité ne garantit donc pas que vous pourrez voir et vous occuper de votre enfant commun au quotidien en cas de séparation.